« Il y a deux histoires : l’histoire
officielle, menteuse, qu’on enseigne,
l’histoire ad usum delphini, puis
l’histoire secrète, où sont les
véritables causes des évènements,
une histoire honteuse. »

Honoré de Balzac

Massimiliano Caranzano propose une thèse audacieuse : et si l’humanité avait été créée par une civilisation avancée bien avant ce que l’histoire officielle nous enseigne ?

L’auteur s’appuie sur des découvertes en paléogénétique, en archéologie interdite et en mythologie ancienne pour suggérer que notre espèce pourrait être le produit d’une intervention extérieure. Il met en avant des anomalies génétiques, des structures mégalithiques impossibles à expliquer avec les connaissances traditionnelles et des récits anciens qui semblent faire écho à une intervention non humaine. L’un des fils rouges de son enquête est la présence des Anunnaki, ces divinités sumériennes qui, selon certaines interprétations, auraient joué un rôle clé dans la création de l’homme.

Caranzano se penche sur un aspect méconnu de la science moderne : les Human Accelerated Regions (HAR), des séquences de l’ADN humain qui ont évolué à une vitesse fulgurante, défiant les lois du darwinisme classique. Il cite notamment la HAR1, liée au développement du cortex cérébral, qui aurait subi des mutations en un laps de temps étonnamment court. Selon lui, ces transformations ne peuvent pas être expliquées par des mutations naturelles aléatoires et suggèrent une possible intervention délibérée.

Il s’intéresse également à la disparition de certains éléments du génome humain, comme la fusion du chromosome 2, qui distingue Homo sapiens de ses ancêtres primates. Pour l’auteur, ces modifications génétiques pourraient être la preuve d’une manipulation consciente, un héritage laissé par une civilisation avancée qui aurait influencé notre développement biologique.

Un livre incontournable pour les amateurs d’énigmes archéologiques et de réflexions sur les origines de l’humanité.