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Critique par Marie Borin

Dans ce nouveau livre, « le piège », David Icke commence par raconter son cheminement de vie qui l’a mené du métier de footballer à celui de « lanceur d’alerte » ; ce mot étant bien faible pour qualifier quelqu’un qui dévoile depuis plus de trente ans un complot mondial contre l’humanité sans jamais s’être trompé. Il rappelle le profond changement qui s’est passé pour lui, début des années 1990, lorsque sa Kundalini s’est éveillée. Depuis, David Icke ne cesse de nous délivrer le message : la vie est éternelle ; nous sommes tous des expressions de la Conscience infinie ayant une brève expérience humaine. Mais celle-ci est emprisonnée dans une simulation, un programme informatique, une réalité simulée qui limite notre perception aux cinq sens et nous empêche de nous connecter à la Conscience infinie, notre vraie nature. David Icke nous parle longuement des entités, les reptiliens, qui ne veulent pas le bien de l’humanité. Il nous décrit comment elles ont réussi à enfermer l’humanité dans une illusion, de la naissance à la mort. Il va même jusqu’à suggérer que la réincarnation serait elle aussi un piège de la simulation. La seule façon de sortir de la simulation est de changer sa fréquence, de l’élever. Nous sommes infiniment plus puissants que ceux qui veulent nous transformer en une annexe de leur « Intelligence Artificielle ». David Icke trace aussi un historique sur les inventions de virus (HIV et Covid) et met à nu la sinistre supercherie des « faux vaccins ».
« Le piège » est du grand David Icke. Il nous alerte, encore et toujours, sur « les forces obscures qui nous enferment dans la matrice, la nature illusoire de la réalité ». Comme tous les livres de David Icke, il est à lire et à relire.